Un petit peu d'Europe
Ce soir, en compagnie des Kaneda, des soeurs Ueno et des 2 enfants de l'aînée, on est allé voir les feux d'artifices au parc Huis ten bosch, un village hollandais à la sauce japonaise à quelques 30 minutes d'Oshima (étonnament près). Déja le fait de monter dans la voiture (carrée) était dépaysant, vu que ça ressemblait plus à un jouet. Des Stitch partout, posés devant ou suspendus à tout ce dont on pouvait accrocher des trucs, sauf au endroits déja occupés par des Mickey. Des fausses fleurs recouvrent l'espace devant le volant (muni d'une housse ambiance jungle) et le rétro c'est une planche de surf. Par contre sur le tableau de bord, il n'y a que l'indicateur de la vitesse et celle de l'essence. Pas de problèmes s'il n'y a pas de levier de vitesses, 3 pédales suffisent, même si みほさん est assise à moitié en tailleur.
Pendant tout le voyage, Yuuya, 4 ans, voulait pas dire bonjour. Et pourtant il m'attrape la main à l'entrée du parc, donc j'ai eu la description avec japonais d'enfant, de temps en temps corrigé par sa mère (on aura appris les mêmes mots en même temps), de temps en temps avec des bouts de de syllabes meaningless. Jusqu'au restaurant j'essayais de faire semblant de le comprendre, il doit pas en avoir vu souvent des gens qui font plus du double de sa taille mais qui savent même pas parler. Le seul truc qui me rassurait c'est qu'il ne pouvait rien lire, j'avais donc le romaji, les hiragana/katakana et quelques kanjis d'avance.
Le restaurant choisi est italien, et là les choses se sont un peu inversées : まゆみさん a mangé sa première olive de sa vie (qu'elle trouve au goût du natto ...), tout le monde avait une vraie fourchette, et la décoration n'avait rien de japonais. Mais bien sûr la pizza n'avait pas grand chose de pizza non plus, les tagliatelles cachaient des crevettes et on a mangé à la japonaise : au lieu de se commander chacun un plat (pâtes, salades, pizza), on les a tous laissé au milieu et chacun a pioché dedans.
Avant la sortie, passage obligé par la boutique de souvenir, avec du gouda à 10 euros les 150 g, et une enseigne "RAFRAICHIR : La vraie recette de la "pâtisserie" " qui passerait presque inaperçue tellement le presque-français est fréquent ici.
Autre chose, j'ai avoué ne jamais avoir mangé de tanuki, mais ils ne voulaient pas me croire. Si c'est si fréquent j'en ai peut-être mangé sans le savoir ...
Pendant tout le voyage, Yuuya, 4 ans, voulait pas dire bonjour. Et pourtant il m'attrape la main à l'entrée du parc, donc j'ai eu la description avec japonais d'enfant, de temps en temps corrigé par sa mère (on aura appris les mêmes mots en même temps), de temps en temps avec des bouts de de syllabes meaningless. Jusqu'au restaurant j'essayais de faire semblant de le comprendre, il doit pas en avoir vu souvent des gens qui font plus du double de sa taille mais qui savent même pas parler. Le seul truc qui me rassurait c'est qu'il ne pouvait rien lire, j'avais donc le romaji, les hiragana/katakana et quelques kanjis d'avance.
Le restaurant choisi est italien, et là les choses se sont un peu inversées : まゆみさん a mangé sa première olive de sa vie (qu'elle trouve au goût du natto ...), tout le monde avait une vraie fourchette, et la décoration n'avait rien de japonais. Mais bien sûr la pizza n'avait pas grand chose de pizza non plus, les tagliatelles cachaient des crevettes et on a mangé à la japonaise : au lieu de se commander chacun un plat (pâtes, salades, pizza), on les a tous laissé au milieu et chacun a pioché dedans.
Avant la sortie, passage obligé par la boutique de souvenir, avec du gouda à 10 euros les 150 g, et une enseigne "RAFRAICHIR : La vraie recette de la "pâtisserie" " qui passerait presque inaperçue tellement le presque-français est fréquent ici.
Autre chose, j'ai avoué ne jamais avoir mangé de tanuki, mais ils ne voulaient pas me croire. Si c'est si fréquent j'en ai peut-être mangé sans le savoir ...
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