Kobe, le retour

Pour revenir d'Okinawa, ANA ne pouvant pas nous ramener à Osaka, on a atteri à Kobe. En fait, c'est aussi un aéroport sur une île artificielle dans la baie d'Osaka, et on rejoint la ville par une ligne de train sur un pont. Finalement c'est pratique d'avoir choisi le même endroit pour placer Kyoto, Kobe et Osaka. On est encore en plein après-midi, donc on se promène dans Kobe, la ville des gens qui s'habillent bien, avant de rentrer à Kyoto par Hankyu. Kobe, c'est aussi la ville d'origine de la famille Ya*aguc*i-gum*, qui d'après le sensei au cours de son succulent repas dans sa maison aujourd'hui (03/10), va dans les prochaînes années contrôler toutes les familles du Japon (les gens de l'ouest sont paraît-ils plus forts pour faire des gangs).

Déjeuner au Chinatown, où on peut acheter 3 fraises pour 2 euros.

Ballade au Tokyu Hands. C'est une grande enseigne qui vend de tout, et qu'il n'y a que dans les très grandes villes. A Kobe, sur 7 étages, on peut trouver des protège-bananes pour aller en pique-nique.

Après une petite pause de 29 minutes au karaoké Jankara pour se venger des prix japonais (cette chaîne de karaoké propose pour 110 yens/30min (70 eurocents tarif étudiant) une chambre de karaoké avec boissons à volonté)(C'est donc nullement pour chanter, même si en 30 min on peut largement retrouver les Korikki-HinoiTeam et même un monde parfait d'Ilona), on fait direction vers le nord de Sannomiya ("la" gare de Kobe), le quartier des maisons au style étranger. J'ai par réflexe pas pris de photos vu que ça m'étonnait pas, mais c'est vrai que ça fait une attraction naturelle au milieu du Japon.

Comme toujours, la France et le Japon sont très liés

Ca doit être la vue la moins intéressante de la baie, car à droite on a le port avec la Kobe Tower, et à gauche les grandes tours.

La mode au Japon, j'ai l'impression que c'est d'être habillé comme tout le monde, avec l'indispensable, le sac ou le portefeuille (qui dépasse bien du jean moulant) Louis Vuitton. Le tout petit porte-monnaie fait 3 man (200 euros), et le sac le plus répandu parmi les jeunes japonaises fait 12 man.